Comment bien choisir un détecteur de fumée
Obligatoires dans chaque logement d’habitation depuis 2016, les détecteurs de fumées prolifères dans les rayons de magasins de bricolage. A tel point qu’il devient difficile de faire sont choix en toute confiance. Voici quelques conseils à respecter dans la sélection de vos détecteurs de fumée.
Les détecteurs de fumée, obligatoires depuis 2016
Vous le savez sans doute déjà, le gouvernement français a adopté une loi obligeant tous les logement d’habitation à être équipés de détecteurs de fumée. Cette mesure a pour objectif de renforcer la sécurité des particuliers dans leurs domicile. Le détecteur doit pouvoir déceler les fumées émises dès le début d’un incendie et émettre immédiatement un signal sonore suffisant pour permettre de réveiller une personne endormie.
C’est souvent la première chose que je vérifie lors d’un nouvel emménagement (cas d’une location bien sûr), car lorsqu’on demande à être assuré, on peut cocher par défaut qu’il y en a un et en fait non. Donc petit réflexe à mettre en place : vérifier tout de suite la présence d’un détecteur fumée.
Quelles normes doivent-ils respecter ?
Le problème est que, depuis l’adoption de cette loi, de nombreux détecteurs de fumée sont arrivés sur le marché et tous ne sont pas forcément recommandables. A noter qu’il doivent être munis du marquage CE et être conforme à la norme européenne harmonisée NF EN 14604. A savoir également que les détecteurs à ionisation sont interdits du fait de leur radioactivité.
Pour le positionnement, sachez que le détecteur doit être placé en hauteur, dans un lieu de passage – un couloir par exemple -, le plus loin possible de la cuisine et de la salle-de-bain pour éviter le déclenchement inutile lors des émanations de vapeur. Dans le cas d’une habitation sur plusieurs étages, il est recommandé d’installer au moins un détecteur par étage.
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